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Oeufs, agneaux, douceurs... les traditions culinaires de Pâques

L’agneau, mais aussi d’autres viandes et douceurs se retrouvent sur la table pour les fêtes de Pâques. Les explications se trouvent dans les textes sacrés, le cycle de la nature et les traditions.

18 avr. 2019, 05:00
Un carré d’agneau en croûte d’herbes.

La fête de Pâques, issue de traditions chrétiennes, offre son lot de nombreuses habitudes culinaires. Cet événement «met fin au jeûne du carême avec des mets riches. L’agneau, qui commémore le sacrifice et la résurrection du Christ, est servi en plat principal», rappelle Jelena Ristic, conservatrice à l’Alimentarium de Vevey. «L’agneau est une victime innocente par excellence, puisque le Christ est l’agneau de Dieu et que son sacrifice est une métaphore de la crucifixion», complète le professeur Olivier Bauer, directeur de l’Institut lémanique de théologie pratique à l’Université de Lausanne.

Cet animal, mais aussi le poisson, est présent sur les peintures représentants le dernier repas que Jésus a célébré avec ses disciples le soir avant sa crucifixion. Dans les églises, la Cène est symbolisée par le partage du pain (son corps crucifié) et du vin (son sang). Toutefois, il y a d’autres mets qui se retrouvent sur la table lors...

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