Elle est l’avant-dernière survivante d’un quartier résidentiel typique de l’arrière-gare de Nyon. De la douzaine de villas construites à la fin du XIXe siècle qui bordaient le bas de la route de Saint-Cergue, il n’en reste plus que deux. Celle du numéro 28 devrait être déplacée de quelques mètres pour assurer sa survie.
«Depuis tout petit, j’aime cette maison et ses airs florentins», remarque Georges Tornier, architecte et promoteur, promettant acquéreur de la...