A la morosité ambiante a succédé la colère chez les 120 personnes visées par des licenciements ou une délocalisation des services de WWF en Afrique, à Singapour ou en Amérique latine. Le porte-parole de l’ONG qui emploie environ 200 personnes (dont une trentaine de collaborateurs extérieurs) nous a expliqué que cette restructuration en cours résulte d’un processus de consultation des employés qui a commencé il y a environ un an.
Retrouvez dans nos éditions payantes de ce vendredi 18 mars les explications données par la direction de WWF International et de sa division suisse.