«J’ai été un peu naïve. Mais maintenant je ne ferai plus l’erreur.» En plein mois de juillet, au plus fort de la canicule, la Nyonnaise Alexandra de Schepper n’a pas su résister à l’appel de la baignade à la plage de Nyon. Après quarante minutes dans l’eau, elle sort sans se rincer.
Le lendemain, la sanction tombe: elle est recouverte de puces de canard. «Les boutons ont poussé pendant deux jours. Au final, j’en avais plus de 300, dont une auréole de plus de trois centimètres derrière la jambe, poursuit Alexandra. Après quatre jours, je ne tenais plus et je suis allée aux urgences.» Si les démangeaisons ont duré une bonne semaine, les stygmates ont perduré durant 18 jours. Et elle n’est pas la seule.
«L’alimentation des volatiles par le public favorise l’accroissement de leur nombre et joue certainement un rôle défavorable»
Dr Eric Raetz
Début juillet, Matthieu...