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Le leader Saint-Prex arrache un point contre la "deux" du Stade Nyonnais

Dans un match de 2e ligue où le trio arbitral s’est accaparé le spectacle, le football est presque passé au deuxième plan, mardi soir. Sportivement, le leader Saint-Prex était à coté, alors que la jeune garde nyonnaise a fait un match plein (1-1) et a clairement perdu deux points.

29 mars 2017, 11:01
Nyonnais et Saint_preyards n'ont pas réussi à se départager, mardi soir à Colovray.

Dans une rencontre où l’arbitrage n’a pas fait l’unanimité, il fut difficile pour le leader Saint-Prex et la «deux» du Stade Nyonnais de se concentrer sur le football. Il y en a eu néanmoins, surtout en première mi-temps.

Après l’ouverture du score par Hysenaj (4e), bien lancé en profondeur par le très remuant Schmidli, la «deux» du Stade Nyonnais a encore eu assez d’occasions pour prendre trois, voire quatre buts d’avance dans la première demi-heure. Malheureusement pour eux, la maladresse était au rendez-vous, notamment lorsqu’à la 13e Tachet ratait le cadre à cinq mètres du but.  «On a fait un match plein. On doit clairement le gagner, et on perd deux points sur un coup de bol, contre une équipe qui a pourri le match», analysent en cœur les entraîneurs nyonnais, Michel Tachet et Bruno Gorret.

Egalisation tardive

Car les Saint-Preyards ont joué la carte de l’agressivité. Profitant des largesses du trio arbitral, et chauffés à blanc depuis la touche par un de leurs joueurs absents de la feuille de match, les visiteurs ont été de plus en plus fermes sur le marquage et le pressing – jusqu’à commettre des fautes que seul l’arbitre n’estimait pas valoir le rouge. Notamment lorsque Perriraz sera simplement averti après avoir consciencieusement effectué une «balayette», par derrière, sur Hysenaj.

Dans ce contexte-là, les visiteurs finiront par égaliser, lorsque Caldeira voyait son ballon monter très haut dans le ciel, lober le gardien Caillet et rebondir suffisamment proche de la ligne pour terminer au fond des filets. Par chance plus que par adresse donc, mais cela compense un peu «le», voire les deux penalties que leur a refusé l’arbitre plus tôt dans la rencontre. «C’est un jour sans pour nous. On a essayé de jouer au foot, mais l’arbitre nous en a empêchés. Moi j’ai vu un arbitre partial, du début à la fin…. Que fait l’ACVF?», peste Mario Chedly, après la rencontre.

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