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Condamné au pénal, le président Ravenel vacille

Le syndic de Trélex a été condamné pour menace qualifiée envers son épouse. La gauche exige sa démission de la présidence du Grand Conseil. Ce mardi après-midi, il n’a pas dirigé la séance.

07 janv. 2020, 13:14 / Màj. le 07 janv. 2020 à 20:36
Yves Ravenel s'est longuement entretenu avec le chef de groupe UDC Philippe Jobin (à g.) et les différentes formations politiques, mardi matin, avant de s'éclipser.

Yves Ravenel est resté invisible, ce mardi après-midi au Parlement vaudois. C’est Sonya Butera, première vice-présidente du Grand Conseil, qui s’est installée dans son fauteuil pour diriger les débats. Le premier citoyen du canton n’a donc pas entendu directement les appels à la démission que lui a décochés la gauche. Celle-ci a enjoint le syndic de Trélex à renoncer à sa fonction de président, après que sa condamnation à 60 jours-amende à 80 francs avec un sursis de deux ans et à une amende de 960 francs pour menace qualifiée envers son épouse a été rendue publique (lire ci-dessous).

A lire aussi : «Elle n’a aucune volonté de lui causer du tort»

L’affaire, révélée par «20 minutes» lundi soir, a éclaté à quelques heures de la première séance de l’année des députés. Ceux-ci ont d’ailleurs reporté leurs délibérations à 15h30 – elles devaient initialement commencer à 14h –, crise oblige....

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