«Notre objectif est de proposer l’offre (de repas) la plus diversifiée possible, dans des gammes de prix variées et à toute heure», a déclaré, hier, à Carouge, Stéphane Ficaja, manager général d’Uber Eats pour la France, la Belgique et la Suisse. Il estime qu’aujourd’hui, de 3 à 4% des Suisses se font livrer régulièrement des repas à domicile. «Le potentiel de développement est énorme, de l’ordre d’un facteur multiplicateur de cinq ou dix», jauge-t-il.
En Suisse, Uber Eats vient faire de l’ombre à des acteurs établis comme Smood.ch ou Eat.ch. Avec l’atout d’une marque forte, sachant qu’Uber Eats fonctionnera selon un principe très proche de celui des taxis quasi éponymes du groupe: une application pour passer la commande et la possibilité, pour le client, de suivre en direct l’avancée de sa livraison sur son smartphone.
La société est déjà présente dans 36 pays, trois ans à peine après son...