«Nous tendons la main au SPD pour faire ce qui est nécessaire pour l’emploi en Allemagne», déclarait Angela Merkel en… mars 2005, en réponse à une invitation lancée par le Chancelier Schröder pour coordonner une «initiative pour la croissance et l’emploi». A l’époque, le leader social-démocrate est aux abois. Malgré son «Agenda 2010», le train de réformes appliqué entre 2003 et 2005 et destiné à déréguler le marché de l’emploi, le chômage de masse stagne au-dessus de la barre des 5 millions de chômeurs (9,8% à l’ouest et 18,2% à l’est)! Et c’est ce qui fait justement tomber Schröder en 2005. Seize ans plus tard, la cheffe conservatrice, devenue la chancelière indéracinable et respectée que l’on connaît, s’apprête à quitter le pouvoir. Avec, en termes d’emploi, un bilan plutôt élogieux. Malgré la pandémie, l’Allemagne a un taux de chômage de 5,6% (5,3% à l’ouest et 6,9% à l’est). Soit...
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Allemagne: plus d’un million de salariés à requalifier
En 16 ans, Angela Merkel a divisé par deux le nombre de chômeurs mais son pays ne doit pas se faire dépasser dans l’innovation.
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