L’ancien président catalan Carles Puigdemont, ses quatre ex-ministres et leur avocat se sont présentés d’eux-mêmes, hier, dans un commissariat à 9h17 à Bruxelles. Ils ont ainsi ouvert un délai légal de 24 heures qui oblige un juge d’instruction à se prononcer sur la suite de cette «privation de liberté». Ils ont été entendus jusque dans la nuit. Le choix offert au magistrat est l’arrestation formelle d’un ou plusieurs des responsables catalans, leur libération sous condition et/ou sous caution, ou enfin la «non-exécution» du mandat d’arrêt, indique le parquet de Bruxelles.
Le rejet du...