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Football: Barça - Real, la guerre des mondes samedi au Camp Nou

Le FC Barcelone recevra ce samedi (16h15) son rival historique du Real Madrid pour un Clásico qui "dépasse l'imagination", selon Zinédine Zidane, entraîneur du club de la capitale espagnole. Au Camp Nou, l'attente sera immense.

02 déc. 2016, 18:58
L'histoire du Clásico est riche d'une multitude de moments mémorables.

Eternels rivaux, Barcelone et le Real Madrid s'affrontent dans un Clásico de légende samedi pour la 14e journée du Championnat d'Espagne (16h15). Un match de "rêve" pour l'entraîneur madrilène Zinédine Zidane, une rencontre qui "dépasse toute imagination" selon son président Florentino Pérez.

Barça-Real, ce sont deux clubs parmi les plus riches au monde, voire les plus riches. L'équipe de Luis Enrique contre celle de Zidane: voici les deux derniers vainqueurs de la Ligue des champions. Lionel Messi face à Cristiano Ronaldo: voilà les deux meilleurs footballeurs de la planète, avec respectivement cinq et trois Ballons d'or. "C'est un rêve pour tous les joueurs de pouvoir jouer un Clásico, a résumé Zidane vendredi en conférence de presse d'avant-match. Et pour moi comme entraîneur, c'est forcément la même chose."

 

 

L'attente est immense au Camp Nou avant la 233e édition de cette confrontation séculaire. Car avec 650 millions de téléspectateurs attendus, près d'un dixième de l'humanité, aura les yeux rivés sur Barcelone, soit davantage que pour tout autre match de clubs. "C'est un match de dimension mondiale, que regardent des centaines de milliers de personnes, comme la finale de la Coupe du monde, s'est réjoui cette semaine Florentino Pérez. C'est quelque chose qui dépasse toute imagination." Il n'y a certes que trois points en jeu. Mais il y a bien plus que ça, une certaine idée du beau à faire prévaloir entre Barcelone l'harmonieuse et Madrid l'audacieuse.

 

 

Dans cette guerre des mondes, le Barça et son jeu de passes a plus à perdre que le Real et ses grandes chevauchées offensives. Avec 27 points, le dauphin catalan pourrait ainsi compter neuf unités de retard, un gouffre, à l'issue du choc contre son grand rival (1er, 33pts) au tiers de la saison. Rien de "déterminant", certes, comme l'a dit Luis Enrique vendredi. Mais un gros coup au moral pour l'équipe blaugrana et un gros coup de fouet pour son adversaire merengue, qui rêve de reconquérir la Liga cinq ans après son dernier sacre en 2012.

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