Après six mois de préparation physique, de démarches pour trouver un fauteuil roulant adapté, d’efforts et de communication étroite avec les organisateurs, Daniel Guzman a bien cru, dimanche matin, que la Spartan Race qu’il voulait boucler avec son père handicapé allait tomber à l’eau.
«La météo était incertaine depuis le samedi déjà. Ce sont les diverses hypothermies et fractures d’autres participants qui ont convaincu les organisateurs à hisser le drapeau blanc», raconte Daniel Guzman.
A lire aussi: Ce Nyonnais courra une course à obstacles avec son père en fauteuil roulant
Le thermomètre affichait alors 3 degrés, la pluie battait son plein, le terrain était difficilement praticable et la déception était grande pour le père et son fils.
Plus court mais pas moins dur
«Au final, on nous a annoncé qu’on pouvait prendre le départ de la course «Sprint», une version plus courte et avec moins d’obstacles, que la «Super» qui...