Lorsque Micheline Calmy-Rey a appris de Christoph Blocher les soupçons qui pesaient sur le président de Banque nationale, elle aurait dû immédiatement les transmettre au conseil de banque de la BNS, au lieu de traiter le cas elle-même. C'est la critique centrale faite par les commissions de gestion (CdG) des Chambres fédérales, dans un rapport présenté hier.
Le 5 décembre 2011, la présidente de la Confédération, Micheline Calmy-Rey, accepte de recevoir le conseiller national Christoph Blocher. Qui lui raconte que le président de la Banque nationale suisse (BNS), Philipp Hildebrand, a effectué...