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Toni Brunner regrette que le PLR ait décliné son offre d'alliances

L'UDC veut faire au moins aussi bien qu'en 2011 (26,6%).

12 janv. 2015, 00:01
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Serge Gumy

A neuf mois des élections fédérales, les partis sont en ordre de bataille. Pour lancer l'année politique, nous questionnons les présidents des sept formations les plus importantes du pays. Parole aujourd'hui à Toni Brunner, président de l'Union démocratique du centre (UDC), premier parti de Suisse.

Toni Brunner, avez-vous de l'appétit?

Oui, surtout cette année.

Vous dites pourtant que l'UDC aura de la peine à faire aussi bien qu'en 2011...

C'est vrai, dans la mesure où nous avons crû fortement ces dernières années.

En 2011, vous avez régressé!

Nous avions dû digérer une scission (celle du Parti bourgeois-démocratique, après l'exclusion d'Eveline Widmer-Schlumpf). Depuis, lors de 15 des 19 dernières élections cantonales, nous avons augmenté notre force électorale, d'où notre appétit. Mais nous partons de beaucoup plus haut que nos concurrents, nous avons donc plus à perdre.

Avez-vous des objectifs chiffrés?

Non. Nous devons essayer de rééditer notre score de...

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