Il s’appelle A S T R O. Il est nyonnais et a plus d’auditeurs par mois sur la bibliothèque musicale en ligne, Spotify, que Bastian Baker, l’artiste suisse romand numéro un. Près de 280’000 personnes l’écoutent chaque mois, son titre phare dépasse le million d’écoutes et, pourtant, très peu de monde connaît ce mystérieux «robot».
Créé il y a deux ans, A S T R O jongle entre la musique «lo-fi» et «chill-hop». En français, et en des termes moins glamours, c’est ce qu’on appelle de la musique d’ascenseur, mais l’étiquette ne froisse pas son compositeur. «Au bout d’un moment j’en avais un peu marre qu’on me demande si c’était de la musique d’ascenseur alors j’ai écrit une chanson qui s’appelle «Ascenseur», histoire de pousser le truc jusqu’au bout», dit l’artiste en rigolant.
Qui est A S T R O?
Le vrai visage d’A S T R O? Seuls ses...