C'est presque gênée, en se cachant le visage derrière un bout de papier, que l'écrivaine nyonnaise Corinne Desarzens est allée recevoir le Prix de la littérature 2012 samedi au Palais Rumine, à Lausanne.
Elle ne semble en tous cas pas bouleversée outre mesure par cette récompense, elle qui n'aime pas forcément les grandes décorations.
Les 20 000 francs qui lui ont été attribués contribueront à financer les différents projets auxquels elle participe, notamment en Afrique.
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