L’équipe du HBC Nyon serait-elle frappée du syndrome «un jour sans fin»? Condamnée à revivre encore et encore, week-end après week-end, un immuable scénario? Depuis le début de la saison, le déroulement des rencontres des handballeurs nyonnais suit une trame identique: après une première mi-temps de très bonne qualité, les protégés de Christophe Fourcot s’éteignent à petit feu lors du deuxième acte. Cette histoire a connu, samedi, à Bienne, un nouveau chapitre qui s’est révélé identique en tous points aux précédents (défaite 26-21). «Nous avons mené la rencontre durant près de 25 minutes avant de nous écrouler un peu en fin de mi-temps et de rejoindre les vestiaires avec deux buts de retard», confirmait l’entraîneur nyonnais.
Un banc à étoffer
Sans surprise, les 30 dernières minutes du match auront une nouvelle fois été très difficiles pour la formation lémanique. La cause de ces baisses de régimes à répétition...