Après leur départ à fin juin, les squaters d'Urtica au 68 route de Divonne ont laissé les lieux dans un état indescriptible. Murs repeints en noirs pour y écrire à la craie, fenêtre condamnées avec des maçonneries en pavé et tessons de bouteilles, tabatière cassée, saleté repoussante...
La commune, qui loue cette bâtisse à l'EVAM depuis le 1er avril, doit entreprendre de sérieux travaux, dont la moitié est directement imputable aux squaters. Mais qui va payer? La commune a déposé une plainte complémentaire dans l'espoir de pouvoir récupérer une partie de l'argent auprès des squaters identifiés. Mais sans trop d'espoir....
A découvrir dans nos éditions de vendredi.