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Il y a exactement vingt ans, le massacre de Louxor

Agent de liaison, le Romand André Chappot est intervenu, le 17 novembre 1997, pour l’identification des 36 Suisses tués en Egypte.

17 nov. 2017, 00:21
ZU DEN SDA ARTIKELN UEBER DEN FUENFTEN JAHRESTAG DES ANSCHLAGES VON LUXOR STELLEN WIR IHNEN FOLGENDES BILD ZUR VERFUEGUNG:
ARCHIVE---Ein Soldat bewachten den Tempel von Karnak in Luxor, Aegypten, am 13. Januar 2001. (KEYSTONE/AP/Amr Nabil) AEGYPTEN LUXOR FUENFTER JAHRESTAG

Avec le temps, André Chappot a fini par en parler. Mais le souvenir de ce 17 novembre 1997 reste vif. Ce matin-là, devant un temple près de Louxor, en Egypte, des terroristes ont ouvert le feu sur des touristes, faisant 62 morts. Principalement des étrangers, dont 36 ressortissants suisses. Le Valaisan, établi quelques mois plus tôt à Louxor, pour y créer une petite entreprise d’informatique, était à son bureau. Il n’a rien entendu, l’attaque ayant eu lieu sur l’autre rive du Nil, sur le site du temple d’Hatchepsout. C’est un coup de fil de l’ambassade qui l’a alerté. «En m’établissant à Louxor, j’avais proposé mes services au gouvernement suisse. Je pensais plutôt m’occuper de passeports volés...»

André Chappot sera l’un des premiers à se rendre sur place pour aider et accompagner les victimes. Pour le compte de l’ambassade, il assuma la pénible tâche d’identification des dépouilles. Connu notamment pour avoir...

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