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Le soupçon pèse sur ces plantes-là

Les parlementaires sont divisés sur le sort à réserver à la plantation en plein air d’organismes génétiquement modifiés (OGM) résistants aux antibiotiques.

07 juin 2017, 00:40
ARCHIVE - Aus Toepfen mit genmanipulierten Weizenpflanzen werden im September 2000 in der Eidgenoessischen Forschungsanstalt fuer Agraroekologie und Landbau Reckenholz (FAL) bei Zuerich Bodenproben entnommen. - In der landwirtschaftlichen Forschungsanstalt Zuerich-Reckenholz kann im Fruehling versuchsweise gentechnisch veraenderter Weizen angesaet werden. Das Bundesamt fuer Umwelt (BAFU) hat Gesuche von Universitaet und ETH Zuerich bewilligt, wie das BAFU heute Donnerstag, 7. Februar 2008, mitteilte. (KEYSTONE/Martin Ruetschi)  SCHWEIZ GENTECH-WEIZEN FREISETZUNG

Un seul article de la future loi sur le génie génétique divise les deux Chambres du Parlement depuis des mois. Cela pourrait passer pour un détail, une divergence insignifiante, s’il ne s’agissait de la dissémination à l’air libre d’OGM avec des gènes de résistance aux antibiotiques. Inquiet, le Conseil national milite à une large majorité pour le maintien de l’interdiction en vigueur. Tandis que le Conseil des Etats et le gouvernement veulent permettre aux chercheurs de planter de tels végétaux dans des champs en plein air, mais étroitement surveillés, comme le site d’Agroscope à Reckenholz, dans le canton de Zurich.

Le bras de fer risque de s’achever en conférence de conciliation: les sénateurs, qui se prononcent aujourd’hui, devraient camper sur leur position, au nom «de la science» et de la place de la Suisse dans les «projets de recherche internationaux», selon le vice-président de la commission compétente, Ruedi Noser...

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